332 M$ afin de favoriser le développement durable et la vitalité des territoires :
À noter que de cette somme, 250 M$ sont consacrés à l’aide aux municipalités pour l’amélioration et à l’entretien du réseau routier local.
96 M$ pour renforcer la capacité d’adaptation du Québec aux changements climatiques, dont :
48,4 M$ pour assurer la résilience face aux sinistres;
30,3 M$ pour pérenniser les ressources nécessaires à la sécurité des barrages publics;
17 M$ pour accroître la résilience des infrastructures technologiques.
Une bonification du plan de mise en œuvre du Plan pour une économie verte 2030 est également prévue au printemps, à hauteur de 200 M$ pour un total de 10,2 G$.
Relance du programme Roulez vert au 1er avril 2025.
Tel qu’annoncé dans le budget 2025-2025, les rabais à l’achat de véhicules électriques seront réduits graduellement et cesseront d’être offerts pour des véhicules immatriculés à partir du 1er janvier 2027.
15 M$ afin de poursuivre la saine gestion des matières résiduelles
Couvrent l’arrimage des matières recyclées avec les besoins du marché, lutte contre le gaspillage alimentaire, optimisation du réseau d’écocentres, appui aux communautés isolées, compostage domestique et communautaire et économie circulaire dans le secteur touristique.
Augmentation de 392,7 M$ au secteur Environnement du Plan québécois des infrastructures (PQI) 2025-2035, entre autres pour le Programme de traitement des matières organiques par biométhanisation et compostage, ce qui porte le total de ce secteur à 1,4 G$.
106,6 M$ afin de reconduire le Plan québécois de valorisation des minéraux critiques et stratégiques pour la période 2025-2030, incluant l’acquisition de connaissances en gestion de l’amiante (résidus miniers amiantés).
Toujours dans le PQI, 108 M$ pour des investissements nécessaires en vue d’atteindre les cibles fixées par le gouvernement dans le Plan pour une économie verte 2030 (cible de réduction de 60% des émissions de GES du parc immobilier gouvernement dans le Plan de mise en œuvre 2024-2029.
1,8 M$ sur deux ans pour l’élaboration du Plan de gestion intégrée des ressources énergétiques, incluant des consultations avec les municipalités et les parties prenantes et la réalisation d’études techniques.
39,6 M$ pour accroître les efforts de protection de l’environnement et de la biodiversité, dont :
24 M$ pour embaucher davantage de d’agents de protection de la faune;
11,4 M$ pour réaliser des analyses d’intégrité des travaux correctifs pour les puits d’hydrocarbures inactifs problématiques.
4,2 M$ pour protéger le saumon de l’Atlantique en maintenant les actions des organismes qui contribuent activement aux suivis, aux décompte et à la protection des populations.
27,4 M$ pour soutenir les communautés autochtones dans leur participation à la gestion et à la mise en valeur de la faune.
35,6 M$ sur 2 ans afin de renouveler le programme de protection investissements sylvicoles contre la tordeuse des bourgeons de l’épinette (programme d’arrosage aérien d’insecticide biologique).
Le gouvernement veut assurer la délivrance des autorisations environnementales dans un délai optimal et investit 62,8 M$ sur 5 ans dans le BAPE pour reconduire les effectifs nécessaires pour ce faire.
L’augmentation des effectifs du BAPE a permis d’obtenir un taux de 88% des autorisations émises dans un délai de 75 jours ou moins, dépassant la cible fixée à 85%.